The basic conflict is between how the individual sees what is needed for his immediate survival and what the race requires if anyone is to survive.
Certains des textes de non-fictions de Frank Herbert ne sont pas de simples odes aux futurs harmonieux ou aux inventions bienfaisantes, certains articles revêtent des tonalités plus pessimistes ou négatives, au goût de mise en garde. La perte de vue des conséquences désastreuses que les modes de production et consommation engendrent sur la société et sur l’environnement sont l'une des raison pour l'auteur de prendre des accents plus courroucés.
Problèmes, paradoxes, crises... c'est presque le pain quotidien de l'écrivain de SF, et Frank Herbert semble se spécialiser dans les relations homme-énergie. Depuis son lieu de réside, il s'inspire beaucoup de la métropole la plus proche, San Francisco, et de sa baie. Dans ce pamphlet aux accents d'activistes écologiques, il dénonce la façon dont les villes de son temps sont modelées autour de l'utilisation des voitures.
Selon lui, il faut plus d'interactions entre le monde urbain et le monde rural, avec une harmonisation et symbiose qui s'appuierait sur un cycle de recyclage des rejets de la ville pour alimenter l'industrie agronomique des campagnes. Quelque part en réminiscence du Jihad Butlerien, il annonce qu'il faut arrêter de croire que les machines peuvent tout mieux faire, et qu'il faut réduire les échelles de productions et consommations. Avec un certain conservatisme, il appel à un retour à une production limitée et de qualité et utilise des argument aujourd'hui que l'on peut lire en trame du concept de "obsolescence programmée"; pour le remplacer, il cherche un modèle qui s'appuierait sur des utilisations de "mouvements perpétuels" tel l’éolienne qui ferait remontrer l'eau pour ré-entrainer les turbines des centrales électriques.
Mais par dessus tout, il nous faut changer cette attitude de je-m'en-foutisme ambiant... Il faut penser les conséquences, sinon personne ne survivra.
Selon lui, il faut plus d'interactions entre le monde urbain et le monde rural, avec une harmonisation et symbiose qui s'appuierait sur un cycle de recyclage des rejets de la ville pour alimenter l'industrie agronomique des campagnes. Quelque part en réminiscence du Jihad Butlerien, il annonce qu'il faut arrêter de croire que les machines peuvent tout mieux faire, et qu'il faut réduire les échelles de productions et consommations. Avec un certain conservatisme, il appel à un retour à une production limitée et de qualité et utilise des argument aujourd'hui que l'on peut lire en trame du concept de "obsolescence programmée"; pour le remplacer, il cherche un modèle qui s'appuierait sur des utilisations de "mouvements perpétuels" tel l’éolienne qui ferait remontrer l'eau pour ré-entrainer les turbines des centrales électriques.
Mais par dessus tout, il nous faut changer cette attitude de je-m'en-foutisme ambiant... Il faut penser les conséquences, sinon personne ne survivra.
* "The Sky is Going to Fall" in Seriatim: The Journal of Ecotopia, No. 2, Spring 1977, pp. 88 – 89.
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cet article est publié dans le cadre du Défi Frank Herbert
Commentaires
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Salut ! Laissez moi donc un message, à défaut de me jeter des cacahouètes par dessus la grille... :P